Les grandes étendues en motoneige

Départ 7h30 pour un rendez-vous à Kiruna à 10h. Malgré quelques flocons au démarrage, le ciel se dégage en s’éloignant d’Abisko et la route se passe sans encombre. Arrivés sur place nous passons nos combinaisons grand froid intégral, puis nous nous rendons au démarrage de l’expédition. Quelques consignes de sécurité et le convoi des 5 motoneiges s’ébranle. Au bout d’1/4 d’heure, un couple d’anglais, juste derrière le guide, se plantera 2 fois… Ils feront la suite du parcours à 20 km/h avec des pointes à 30 et les autres derrière. Entres 2 chemins sinueux dans la forêt, nous traversons de grandes étendues blanches formées par les lacs ou rivières gelées et il est tentant d’accélérer un peu. Nous laisserons souvent le groupe prendre de l’avance pour pouvoir les rattraper avec des pointes à 100. Le décor est fantastique et nous le partageons avec des équipages de chiens de traîneau.

Excursion en motoneige

A midi, nous nous arrêtons dans un camp retiré. Le même organisme que pour la motoneige prépare ce camp à la demande pour vivre quelques jours coupé de tout. Ils fournissent un chalet, la nourriture. Le calme et l’isolement sont fournis par la nature…

Le guide allume une cheminée centrale, dans une cabane hexagonale avec un banc qui fait le tour où nous prendrons un repas typique. Lingberries, salmon soup, cheese sandwish et sponge cake with cream et cranberries chaud. En tout cas, on a eu bien chaud dans la cabane.

Repas dans la cabane

Nous repartons pour un quart d’heure avant d’arriver à notre point de départ.

16h, retour au centre de Kiruna ou nous élaborons une stratégie pour augmenter nos chances de voir une aurore boréale.

Recherche d’un café avec WiFi pour vérifier l’activité géomagnétique. Suite à la constatation de la faible activité, nous décidons de traîner jusqu’à 19h30 puis de ramener une pizza au chalet à de Björnkliden. Nous verrons peut-être quelque chose pendant les 100 km de route dans nuit Suédoise.

Ben non ! Pas de lumières dansantes…

Repas pizza au chalet. La flemme et une activité géomagnétique faible nous confortent dans l’envie de rester au chalet.

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